Coronavirus

Nous aidera-t-il à mieux vivre?...

 

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NOUS SOMMES EN GUERRE!...# Tous à la maison

C'est la guerre! Une guerre mondiale! Nous devons rester confinés à la maison!
Mais il n'y a pas de bombe. On ne voit pas d'ennemi...
Pourtant, un seul pas hors de chez-vous pourrait ramener cet ennemi invisible à l'intérieur de votre foyer.
L'ennemi, est un virus... mais pas obligatoirement une maladie. C'est là qu'est tout le problème! Un ennemi invisible qui peut nous contaminer à tout moment, mais qui ne sera grave que pour une faible proportion d'entre nous.

"Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés..." Cette citation de La Fontaine nous rappelle bien évidemment la Grande Peste qui, de 1347 à 1352, qui a fait 25 millions de victimes (30 à 50 % des Européens moururent). Et aujourd'hui on ose à peine parler de la Grippe Espagnole qui a fait entre 50 et 100 millions de morts il y a seulement une centaine d'années...

L'intérêt de l'approche de La Fontaine sur les ravages de la peste consiste dans le fait que, pour apaiser la colère du ciel, chacun confesse ses fautes pour que soit puni le plus coupable.
"Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir".
Cette conclusion va-t-elle s'appliquer au drame que beaucoup d'entre nous vivent actuellement? La faiblesse de nos structures sanitaires va-t-elle nous condamner à revivre de réelles tragédies au nom d'intérêts politiques immédiats?...
Trouver le ou les coupables, en tirer des conclusions et définir les conduites à tenir pour l'avenir est l'objectif de cet article.

2013-2018

CONFINEMENT, DISTANCIATIONLa peur de l'invisible...

Nous avons tous conscience de vivre un moment historique. Frontières fermées, services de santé débordés, économies à l’arrêt… C’est comme si le monde entier s’arrêtait de respirer pendant quelques semaines, quelques mois, pourquoi pas quelques années...
Mais est-ce aussi inédit qu'on pourrait le croire?...
Le contexte actuel, social, politique et sanitaire est logiquement différent de celui de la Grippe Espagnole au siècle dernier?... Les populations étaient notamment affaiblies par quatre années de guerre et, depuis, la médecine a obligatoirement fait des progrès. Reste qu'il y a des similitudes évidentes entre les réponses des autorités en 1918 et en 2020: mise en quarantaine des personnes infectées, fermeture des établissements publics et des écoles, limitation ou interdiction des rassemblements publics.
D'où un ralentissement imprévu de toute l'activité de la planète et la menace d'une crise économique sans précédent. Pire que lors d'une guerre mondiale!...

Bang

Et dire qu'en ce début d'année 2020 tous les espoirs nous étaient permis. Même si nous n'avions pas à être fiers de nos actions pour la planète, nous avions accompli de réels progrès durant les dernières décennies avec la régression de la famine, des épidémies et de la guerre. Comme le dit Yuval Noah Harari, Homo Sapiens, animal insignifiant il y a 70 000 ans, était aujourd'hui en passe de devenir un Dieu...
Alors que s'est-il passé? Colère du ciel comme l'évoque Jean de la Fontaine. Bien sûr que NON!
Mais que faire si le nombre de lits disponibles à l’hôpital est inférieur au nombre de malades dont la survie exige l’hospitalisation?... Du catastrophisme et une politique de la peur?
La puissance des mots réside moins dans les mots eux-mêmes que dans la puissance de ceux qui les prononcent. Il n’y a un pouvoir des mots que parce que les mots sont les mots du pouvoir. Le pouvoir nous dit qu'un ennemi invisible nous guette et s'apprête à nous détruire, alors cachons nous, confinons-nous pour ne pas être déclaré coupable. Nos dirigeants ne prendraient-ils pas un certain plaisir à enfiler leur costume de chef de guerre?...
Regardons en face « l'irrationalité » de ce modèle. Certes le COVID-19 va faire des morts, mais leur nombre n'aura rien à voir comparé au million et demi de mort sur les routes et aux 800 000 suicides qui surviennent chaque année. Et, tout à coup, on ne parle pratiquement plus des conflits mondiaux qui font pourtant plusieurs centaines de milliers de morts.
Reconnaissons le, l'évènement que nous vivons actuellement n'est que la pointe de l'iceberg qui met en évidence toute la fragilité de nos systèmes. Système politique, social, économique. Sur le plan sanitaire, cela fait des années que tous les professionnels "hurlent" pour faire prendre conscience des insuffisances du système de santé et du manque de réalisme de nos dirigeants...

L'invisible goutte qui fait déborder le vase...

Invisible virus qui déborde notre système sanitaire...
Invisibles particules fines qui encombre nos systèmes respiratoires et détruisent notre couche d'ozone...

Le fait de vivre en accord avec les pires scénarios imaginés par des experts avides de catastrophisme ne risque-t-il pas de nous amener à abandonner trop de nos libertés au profit d'un monde réducteur. La démocratie exige la transparence et dans le combat entre la sécurité et la liberté, ne vaut-il pas mieux errer du côté du trop de liberté.
"Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux." disait Benjamin Franklin

Nous sommes est en train de subir une attaque virale d'envergure mondiale qui nous place tous dans un état de souffrance terrible, mais méritons nous de nous entendre dire que nous pouvons être personnellement responsable de la mort de nos propres concitoyens? Qu'avons-nous fait pour subir cela?
Pour que notre société soit plus sûre, nous devons inévitablement faire des compromis sur nos libertés. Mais, en contrepartie de l'érosion partielle de notre liberté, nous sommes en droit d'attendre que nous soyons mieux protégés que nous ne le sommes.

L'APRÈS PENDÉMIELes épreuves nous rendent plus forts...

L’épidémie devrait pouvoir remettre la nature au centre du jeu.
Le confinement peut nous aider à commencer une détoxification de notre mode de vie
L'épidemie a forcément déplacé des valeurs et des centres d'intérêt, mais à l'instant présent nous sommes vivants. La vie continue et nous devons retrouver toute l'énergie qu'il faut pour faire que demain soit encore plus beau et plus constructif qu'hier...
Faisons de cette crise l’occasion d’une transformation individuelle et collective...
Le succès de la reprise reposera surtout sur les comportements des populations.

Nous pouvons nous hisser à la hauteur des circonstances pour peu que nous dominions nos peurs et soyons un peu plus humbles dans nos approches.
Compte tenu de tout ce que nous venons de vivre, que pouvons nous dire du sens de la vie aujourd'hui? Qui sommes-nous? Que devons nous faire dans la vie?
La nouvelle discipline collective de confinement n'est pas évidente. Pour l’homme l'isolement est contre-nature. C'est au contraire la capacité à vivre ensemble, à s’entraider et à prendre soin les uns des autres qui a permis à l'humanité d'évoluer et de résister à de nombreuses menaces.
Et pourtant, malgré les masques, les écoles, les cinémas, les bars fermés et les rues désertes, une formidable solidarité s'est développée: services rendus entre voisins, mobilisation des caissières, du personnel soignant, soirées musicales organisées de balcons à balcons... Malgré la méfiance de certains, le coronavirus nous a permis de retrouver une fraternité que nous avions tendance à oublier.

"Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir". Alors soyons puissants!...
Nous avons tous le pouvoir de réorganiser notre vie. En se fondant sur les leçons relatives au sens de la vie que cette crise sanitaire et économique nous a apporté, il faut très vite réagir et utiliser ce pouvoir de reconstruction.
Nous ne pourrons faire face que collectivement, mais le comportement de chacun est primordial, car chacun est tributaire des autres. L’individu n’est rien sans ce qu’il reçoit des autres, et sans ce qui le relie aux autres. Cela s’appelle une société.
Cette pandémie s'est immiscé dans tous les registres de la société, nous obligeant à réfléchir pour notre propre compte mais aussi de manière collective. Il est urgent d'avoir une réflexion sur la nature des liens qui relient les êtres humains, le souci de soi et des autres, l'humilité, l'acceptation de notre fragilité et de notre vulnérabilité.

GG

La santé est la condition de notre liberté.Les épreuves nous rendent plus forts...

LE TEMPS D'APRÈS COMMENCE DÈS AUJOURD'HUI...
Ne nous laissons pas terroriser.
Ne laissons pas la peur diriger notre vie. Même si nous avons peur...

L’AVENIR DE L’HUMANITÉ EST DANS LE PROGRÈS DE LA RAISON PAR LA SCIENCE.
- ÉMILE ZOLA

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